DERANGE
Ces images qui me dérangent
Reviennent troubler mon sommeil,
Le sourire sur son visage
Certaines nuits, soudain, m'éveille.
Et toujours ce même rêve
Les croix surplombent le cercueil
D'un cimetière en bord de grève,
En moi ressortent les écueils.
Toujours le passé me hante,
L'attrait du macabre revient
Et j'erre au gré de la tourmente
Tandis que se main me retient.
L'ombre est peuplée de ces démons
Qui font tomber les interdits
A la lueur de son prénom
Elle a pénétré dans ma vie.