NICE AEROPORT

Le Var se termine où naissent

Tant de voyages aériens ;

A son côté l'avion se pose...

Le fleuve, à la mer, appartient.


La mer, avide, l'engloutit

Comme elle a, un jour, avalé

Des pistes, enjeu d'une partie

Que l'homme lui avait gagné.


Mais ces grands oiseaux blancs d'acier

Ne peuvent rivaliser

Avec les puissants voiliers

Autorisés à se poser


Quel que soit le temps sur les flots :

Albatros ou bien goélands,

Mouettes dormant sur les eaux

Et pélicans y déjeunant.

Créez votre site web gratuitement ! Ce site internet a été réalisé avec Webnode. Créez le votre gratuitement aujourd'hui ! Commencer